Impact, innovation, inspiration : quels sont les fruits de la coopération ?
Depuis quatre ans, les 4 ONG universitaires Eclosio, FUCID, Louvain Coopération et ULB-Coopération ont créé le consortium Uni4Coop afin d’enclencher de nouvelles collaborations et relever de nouveaux défis. En cette rentrée académique, nous sommes dans l’attente de l’acceptation du nouveau programme commun, plus ambitieux que le précédent, dont les projets communs renforcent encore l’intégration. Parmi ceux-ci : une collaboration inédite, intégrée et durable entre l’ARES et Uni4Coop via un projet qui se focalise sur la mobilité et les partenariats internationaux, et un projet commun de gestion inclusive des savoirs, alliant tous les types de savoirs.
Les 4 ONG ont organisé le 7 octobre dernier une soirée de rencontres en invitant la Ministre fédérale de la Coopération au développement et des grandes Villes, les Ambassadeur·e·s des pays où le consortium est actif, les quatre rectrices et recteurs concernés, des membres des corps académiques, des responsables de la DGD et d’ACODEV (la fédération des ONG) ainsi que des responsables d’autres acteurs de la coopération pour présenter leurs réalisations conjointes passées et à venir, mais aussi et surtout pour souligner notre ancrage fort dans nos universités.
Le programme proposé était varié avec l’allocution de la Ministre, le speed dating Uni4Coop par les 4 administrateurs et administratrice des ONG, la présentation du futur programme du consortium par Mme Fiona Nziza et une présentation scientifique sur les mangroves par le Professeur Farid Dahdouh-Guebas. La séance a été complétée par la projection du documentaire « Uni4Coop : un consortium pour la coopération internationale de demain » (réal. : Jugaad) et la visite des stands interactifs autour de 4 grandes thématiques développées au travers des projets des ONG d’Uni4Coop : l’éducation à la citoyenneté mondiale, l’agroécologie, la santé et les mangroves.
La forte présence de l’ULB a témoigné de l’importance que l’Université donne à son ancrage international et à son approche solidaire. Elle permettra certainement d’encore renforcer les liens entre l’ONG et les facultés, départements et centres de recherche représentés !